Aujourd’hui, je vais vous faire visiter le fort d’Águilas. Le fort San Juan de las Águilas a été bâti au 18e siècle. A l’époque, la ville d’Águilas n’existait pas encore : il n’y avait que le fort !
Le fort est perché sur les hauteurs de la ville et a vue sur la mer :
La première chose que j’ai vu en arrivant, c’est ce panneau :
Il explique la signification du blason de la forteresse.
Je suis entré dans le fort par cet escalier :
Je suis arrivé dans la cour intérieure dans laquelle se trouve le puits :
Remarquez-vous les drôles de tuyaux en haut des murs ? Ils servaient à récupérer l’eau de pluie qui tombait sur le toit-terrasse. L’eau coulait dans les tuyaux et atterrissait dans le puits central. Les portes que vous voyez donnent chacune sur une salle aujourd’hui transformée en musée :
Ici, une maquette d’Águilas.
Et là, les cailloux et la composition du sol des environs de la ville.
Y aquí, un petit jeu sur la faune et la flore d’Águilas.
Une vitrine exposant des répliques d’objets archéologiques découverts à Águilas.
Là, une réplique de la cuisine des soldats à l’époque.
Et une autre vitrine avec des objets de l’époque : une lampe à huile, une tête de pipe, une tête de Gorgone et un pot.
Voici les quatre fondateurs d’Águilas :
Ensuite, on passe au sous-sol pour y découvrir la rude vie des soldats.
Ici, un pistolet avec la réserve de poudre.
24 heures dans la vie d’un soldat : beaucoup d’heures de garde et d’attente (ils devaient bien s’ennuyer !)
Et le bureau du commandant :
Ensuite, je suis monté sur le toit-terrasse : il y avait des canons !
Et des goélands…!
Pour voir ces goélands, j’étais tout en haut du fort. Puis, je suis descendu par ces escaliers pour visiter l’autre extrémité du fort :
C’est là-bas qu’ils stockaient la réserve de poudre : loin des dortoirs !
Et voilà, nous avons tout visité !
Au fait, vous n’avez pas répondu à l’énigme de mon article précédent. Allez, un petit effort !
… à bientôt pour de nouvelles aventures du petit singe le plus sympathique du monde
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